« Julius s’était approché de Francesca qui était allongé sur le sable, elle avait fermé les yeux. Il avait regardé son visage, le petit front bombé, les sourcils si bien dessinés, la bouche épaisse, charnue, presque noire, brillante et il l’avait embrassé. Francesca n’avait pas bougé. Ses lèvres étaient restées closes. Julius avait alors léché doucement son visage, les paupières, les ailes du nez, le cou. Il sentait le sel sous la langue. Francesca n’avait plus […]