Deux leaders historiques du mouvement nationaliste corse décident, pour la première fois, de lever un coin de la cagoule.
Leur récit apporte une version inédite des rapports entre l’État français et la Corse, de 1987 aux discutions actuelles à Matignon
Leur témoignage jette un éclairage direct et cru sur les périodes clés du nationalisme corse. Il ne dissimule rien des conflits qui le déchirent, ni des complicités inattendues dont il bénéficie. Sans oublier les trafics et l’utilisation de « l’impôt révolutionnaire »
François Santoni et Jean-Michel Rossi s’inscrivent en rupture d’une histoire officielle, qu’ils dénoncent comme une tentative de falsification.
Ceci est donc leur vérité