L’auteur en question avait nommé « Alice », un personnage de femme
Alice explorerait l’espace.
L’intrigue se nouerait au fur et à mesure.
Personne, pas même l’auteur, ne devait connaître la suite des évènements.
Au commencement donc était Alice insérée au fil des premiers mots dans un labyrinthe végétal où elle dépose la trace subtile de ses pas. Elle va sans savoir où car rien ne lui est indiqué. Par endroits, des cistes calcinés entravent son chemin, accrochant le tissu de sa robe, égratignant ses bras.
Les horizons se sont perdus, absorbés par une plaie béante d’où s’évade la lumière.